lundi 11 décembre 2017

L’ISCP N’EXISTE PAS



…Enfin c’est ce qu’en disent les lobbies du pseudogenre, reconnaissant par là, que militants et sociologues autorisés auprès du journal, le Nouvel Observateur, dans son blog, ne savent absolument pas qui sont ces freluquets, qui osent être, si jeunes…ISCP.
 Enfin, dit dans leur bouche, c’est une autre musique multiphobique :

«  En cette journée de lutte contre la transphobie, …. Florence Bertocchio, militante trans dans l’association nationale transgenre (ANT) et Arnaud Alessandrin, sociologue à l’université de Bordeaux, reviennent sur la question des mineurs trans, qu'ils estiment oubliés de la lutte contre la transphobie.
Jusqu’à très récemment, nous ne connaissions que des transidentités adultes. La filmographie sur le changement de genre a pourtant fini par compter quelques récits de jeunes gens qui expriment un désir plus ou moins fort de changer de genre. Parmi eux, nous pouvons citer "Ma vie en rose" (Berliner, 1997), "Boys don’t cry" (Peirce, 1999) ou plus récemment "Tomboy" (Sciamma, 2011).
 Les "enfants au genre créatif"
Combien sont-ils ? Nous l’ignorons. Notamment car les dénombrer se heurte au problème de la définition. Que compte-t-on ? Uniquement les mineurs qui désirent changer de sexe ? Ou plus généralement celles et ceux qui ressentent ou expriment un sentiment d’inadéquation avec le genre attendu, en fonction du sexe assigné à la naissance ? Dans la première interprétation, les cas restent aujourd’hui très peu nombreux, même s’ils sont toutefois très urgents à prendre en compte et que l’on peut faire l’hypothèse d’une augmentation des demandes au fur et à mesure d’une meilleure acceptation et connaissance sociale de la transidentité. Dans la seconde perspective, les cas sont beaucoup plus nombreux. Selon des études américaines, dans les écoles primaires, plus de 5% d’une classe d’âge ne se reconnaîtrait pas stricto sensu dans les normes de genres traditionnelles.  Il ne s’agit donc pas d’enfants qui demandent à changer de sexe, ni même d’enfants qui se reconnaissent comme transidentitaires, mais plus globalement de "gender creative kids", d’enfants au genre créatif. »


Voilà comment sont traités les enfant ISCP par les lobbies : Ils n'y connaissent rien, ils ne connaissent pas ces enfants, et on sent bien que ça les dérange dans leur idéologie de choix de pseudogenre.
Que d'approximation dans cet article!.... 

"nous ne connaissions que les 'transidentités' adultes" :  Bien, tous vos militants, ont été enfants, non? ils se sentaient comment ?, fille? garçon?
l'ISCP c'est avant la naissance, et si la mémoire leur fait défaut, c'est que cela ne les a pas marqué : Aucun n’est ISCP !  Tous les enfants ISCP le disent dès qu'ils parlent.

"la filmographie..."  ….Quoi ?!  Il  vous faut des films de fiction pour savoir que ça existe? J'étais allé voir la première de 'la vie en rose' en présence du réalisateur : C'est une fiction issue de l'a mouvance homosexuelle, comme pour 'Tomboy'.

Alors qu'il y a tant de témoignages réels dans le vrai monde ? …  Ça fait pitié.

« des enfants au 'genre' créatif » , fait référence à une association lgbt et arc-en-ciel canadienne. Le moins qu'on puisse dire c'est que c'est une expression personnelle due à la vice-présidente, qui est maman d'une fille ISCP qu'elle admire comme créative. Alors on invente le « pseudo « gendercreative » on en fait même des statistiques, des études sociologiques, etc…. Bientôt à lgbtqi++, il faudra ajouter gc….

Quand cette société arrêtera-t-elle son délire ?

Les enfant ISCP ne sont pas créatifs de leur sexuation, ça leur tombe dessus et ils doivent vivre avec.
C’est stupéfiant et glaçant, ces gens qui admirent les enfants ISCP pour leur ‘créativité’, alors que ceux-ci veulent  juste vivre normalement et être ignorés...

Aveu, "les cas restent très peu nombreux"  … Eh bien oui, UNE naissance sur 50.000, j'ai un chiffre , moi, c'est le nombre d'enfants néerlandais 'persistants ‘ qui reçoivent les bloquants pubertaires, à l'échelle de ce pays, sur 15 ans de suivi des enfants dans ce centre qui concentre toutes les consultations et la recherche pour les Pays-Bas.

Soit 16 enfants par an naissent ISCP en France.

Pas question d’y d'amalgamer les divers troubles de l'identité sexuée ! (Admirez le "stricto sensu" américain) ..et puis c’est quoi ces ‘normes’ de pseudogenre ‘traditionnelles’ ?

En ce qui concerne le milieu scolaire, si la diagnostique médicale dynamique introduit une prise en charge médicale à l'école, les enfants ISCP que l'on parvient à désigner ainsi, ou par 'dysphorie de sexuation', ont droit à une prise en compte dans l'établissement, en coordination avec les demandes des parents.
Le changement de prénom est possible légalement ,  et quant aux toilettes... Elles correspondent à ce qui a été convenu en équipe éducative sur rapport du médecin spécialiste, qui suit l'enfant, et en rapport avec la réelle sexuation inverse de l'enfant, c'est assez clair. 
Une fille ISCP est prise en compte sur certificat médical et réunion de l’équipe éducative, pour informer le personnel et prendre les mesures adéquates comme pour tout handicap : Pas sociétal, le problème : Médical !

Et la première mesure serait d’expliquer à tout le monde ce qu’est l’ISCP !

Quand aux enfants en trouble de l’identité sexuée, ce ne sont pas des mesures scolaires qui lui sont utiles, mais bien le suivi familial psychothérapique, comme je l’explique par ailleurs.
La famille, constamment désinformée et hérissée à ces revendications criardes vues à la télé, est à informer sérieusement, ça je sais faire aussi. Il faut pouvoir dire non, aussi. 
On ne peut pas laisser un enfant en trouble sans que l’enfant soit suivi en psychothérapie.

Il y a tellement d'amalgames avec l'homosexualité, que les parents ne comprennent plus leur enfant, qui se sent souvent depuis tout petit enfermé dans le silence et interdit de vie.

La question ce n'est pas de lutter contre une prétendue 'transphobie' dans la famille, mais rétablir un dialogue, sur une base d'amour et de sécurité affective.
Je travaille à ça aussi.

"rien n'est prévu en France"…. Faux, quelques enfants, une dizaine, dans deux services spécialisés parisiens publics, qui sont ISCP , reçoivent des bloquants pubertaires.

Il y a nécessité vitale, de toute manière, de voir un psychologue de référence , local, en plus des consultations en hôpital public à Paris, le diagnostique spécialisé durant un ou deux ans, par principe souple, avant tout traitement , ce qui permet cette dynamique diagnostique, le diagnostic différentiel d’avec des troubles de l’identité sexuée, un suivi méticuleux, et cette fameuse autorisation, qui n’est pas nécessairement médicale, qui est le moment où l’enfant ISCP se sentira autorisé à vivre, tout simplement, de se vivre soi-même, dans son sexe cérébral, et ne plus jouer une comédie triste.

Il faut avoir à l'esprit qu'un suivi et un diagnostic précis sont nécessaires avant tout traitement, c'est trop grave de risquer la vie de ces enfants et leur destin futur : 4 enfants sur 5 qui consultent aux Pays-bas, renoncent à ce parcours : Ils ne sont pas ISCP, c'est un trouble de l'identité sexuée, et ces enfants peuvent être aidés par le suivi psychothérapique familial, et n’ont pas vocation du tout à recevoir le traitement des enfants ISCP.

Moyennant quoi, le diagnostique ISCP doit permettre à ces rares enfants ISCP de recevoir les traitements qui leur sont absolument nécessaires, c’est-à-dire, pouvoir vivre leur vie dans leur sexe cérébral de naissance, et réparer leur corps, pour vivre ensuite une vie très normale. Les parents et les médecins ou psychologues, ont pour rôle d'accompagner, pas d'encourager, ou agir selon des idéologies.

Il s’agit d’une question médicale et non sociétale, je l’ai dit.
En ce qui concerne l'état-civil, on ne peut pas accorder n'importe-quoi. Ce qui est important pour un enfant, c'est d'être reconnu pour lui-même.
Ces histoires de papiers et de chirurgies sont uniquement des enjeux adultes, car quand tout le monde est au courant de la situation, le groupe protège ces enfants, et ce n'est pas un bout de papier qui est le plus gênant, c'est la compréhension de tous, qui est essentielle.
Il suffit souvent que la photo soit à jour et corresponde à l'aspect de l'enfant, sur la carte d'identité, le M ou le F, n'est même pas regardé. Certains se trompent de bataille en amalgamant les enfants, en plaquant leurs revendications de lobby sur des enfants qui ne leur demandent pas.
Et puis ces histoires de ‘toilettes’… Elles viennent en droite ligne des revendications radicales d’outre-Atlantique : La question des « bathrooms » a enflé à cause même des lobbyistes, qui en ont fait là-bas, un cheval de bataille, sauf qu’en France, on s’en fiche. Cela montre bien à quel point il s’agit de stéréotypes, que l’on veut nous imposer, une idéologie venue d’ailleurs, avec sa nov-langue et ses concepts tordus, ne reposant sur aucune réalité.
J'espère que chacun prendra conscience que la discrimination et le rejet, c’est bien dans cet article qu’on les ressent et qu’on en voit la racine.
 Ces articles incompétents sont toujours rédigés par les mêmes personnes, qui par leurs termes même, montrent leur méconnaissance intime de ces enfants, les conceptualisent, les amalgament à une idéologie politique, rétrograde et mortifère, en les fragilisant dans leur milieu.
Ce vocabulaire lgbtqi++ est en lui-même phobique et discriminant, crée des stéréotypes : Qu’est-ce qu’un ‘trans-identitaire’ un ‘genre-créatif’ (et puis on ne prend pas la peine de traduire ces stupidités d’outre atlantique, normal…) un ‘mineur- trans’ un ‘trans-genre’…
Ainsi posées ces étiquettes totalement stéréotypées pour le coup, l’amalgame au ‘groupe’ des persécutés peut commencer, le bal est ouvert, chacun a son costume, son déguisement, son masque.
En réalité, ce type d’article est destiné à imposer un langage mortifère qui fera passer des enfants discrets, pour les novateurs d’une société autodestructrice. Sauf que ça fait flop : Les invités n’existent pas, les enfant ISCP déclinent l’obligation, et ces gens mortifères ne savent pas voir des anges dans leur enfer.
Effectivement ils n’ont que du film, du cinéma, de la fiction à nous présenter, quelques pantins qu’ils agitent, pour faire croire à la réalité du pseudogenre.


Parler des enfants ISCP, c’est autre-chose, c’est ce que je fais, et modestement, c’est vraiment d’un autre niveau.

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